Charles,
C’était au Caire ; l’époque des ‘’yéyé’’, de Claude François, de Dalida, de « Sacré Charlemagne » et de « Si j’avais un marteau ».
Vous m’aviez causé mon premier grand chagrin, teinté de mélancolie. Du haut de mes douze ans, je découvrais et écoutais ‘’La Mamma’’, hymne d’amour à toutes les mères…
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