Le Parti Radical se lance dans le chantier de la réflexion prospective pour préparer la société française aux enjeux du 3e millénaire. Deux ouvrages « la France Citoyenne » et « Le Manifeste des radicaux » forment le « projet radical » à la fois humaniste, laïc, social et européen.
La primauté de l’individu sur la collectivité, le droit à l’initiative économique et à la libre entreprise, la solidarité sociale fondent les programmes successifs des radicaux à cette époque.
En témoignent les initiatives d’André Rossinot pour ancrer le système de l’apprentissage dans la fonction publique.
André Rossinot est président du Parti radical à plusieurs reprises. Également membre du comité exécutif de l’UMP, il prend ses distances avec la méthode employée par Dominique de Villepin lors de la crise du CPE (recours à l’article 49-3 de la Constitution et refus du dialogue avec les partenaires sociaux au début de la crise), sans pour autant critiquer le projet.
Dans le même esprit, Didier Bariani s’est attaché au gouvernement à développer le rayonnement de la France dans le monde et à valoriser à cet effet le rôle et la représentation des français à l’étranger.