Souveraineté numérique : le bug de Jean-Luc Mélenchon
24/07/2024
La panne numérique géante qui a paralysé une grande partie du monde il y a quelques jours n’a pas stoppé Jean-Luc Mélenchon dans son entreprise de diffusion massive de fausses nouvelles. Notamment quand le lider maximo de l’extrême gauche s’est en pris à la souveraineté numérique des forces armées françaises dans un tweet qui faisait le lien entre cette panne et le contrat passé entre Microsoft et le ministère des Armées.
« Notre capacité de défense n’a pas été affectée par les problèmes de détection et d’atténuation des cybermenaces développés par la société américaine Crowdstrike », souligne Jean-François Beuze, expert en cybersécurité et président de la fédération de l’Aube du Parti Radical. Tout simplement parce que le ministère des Armées n’utilise pas les outils de la société américaine ! »
« La question de l’indépendance et de la souveraineté technologique est cruciale pour notre pays. Notamment dans le numérique. La France est engagée dans des investissements continus pour répondre aux risques de cyberguerre et lutte chaque jour contre les cyberattaques », souligne Laurent Hénart, président du Parti Radical qui précise que les données sensibles restent toujours sous contrôle français et protégées par des infrastructures nationales.
Plusieurs structures et initiatives démontrent cet engagement notamment la Direction Interarmées des Réseaux d’Infrastructure et des Systèmes d’Information de la Défense (DIRISI), la Direction Générale du Numérique (DGNUM), l’Agence du Numérique de Défense (AND) la Direction Interministérielle du Numérique (DINUM). Le Parti Radical réitère son soutien total à ces initiatives essentielles pour la défense nationale.
Par ailleurs le Parti Radical rappelle la proposition de la Sénatrice de Gironde Nathalie Delattre, secrétaire générale du Parti Radical, de protéger et valoriser à l’identique des lanceurs d’alerte le statut des « hackers éthiques » bénévoles qui contribuent à sécuriser les sites de divers organismes sensibles, et les récompenser à la hauteur des vies humaines qu’ils peuvent ainsi sauver.